jeudi 19 juillet 2012

Pourquoi mange-t-on de la viande ?



À première vue, on pourrait penser que l'on mange de la viande par goût ; pour le plaisir gustatif pervers de consommer du cadavre d'animal en quelque sorte. Mais tous ceux qui mangent de la viande n'ont pas cette attirance morbide. Non, la principale raison pour laquelle les gens consomment de la viande est d'ordre culturel.
Chacun a besoin de s'assimiler à un groupe social dans lequel il se reconnaît et dont il respecte les codes. Or notre société a placé la viande à la pointe de sa gastronomie et la publicité insistante du lobby de la viande nous enjoint de respecter ce code social, en nous promettant que l'on en retirera du plaisir.
Vous avez certainement déjà vu cette pub à la télé avec des anges qui se joignent à des démons pour savourer de la viande. Un spot qui met mal à l'aise ceux qui se sont justement détachés de la viande.

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Car cette publicité contient un secret machiavélique : nous sommes différents les uns des autres, non tant par nature que par choix. Tout l'art des publicitaires consiste à nous influencer par la ruse. Et ceux qui tirent discrètement les ficelles de notre comportement aimeraient bien nous attirer sur la pente descendante. Pour cela, on nous laisse entendre que la viande est une denrée enviable, comme si nous étions tous des carnassiers. Mais lorsqu'un herbivore se réveille et s'aperçoit qu'il vit au milieu d'une bande de carnivores, il y a un problème. On a vu ce que cela donnait lorsqu'on fait manger des farines animales à des ruminants ! (Il faut croire que cela n'a pas servi de leçon puisque l'Union Européenne est en passe d'autoriser à nouveau les farines animales dans l'alimentation du bétail).

Le monde évolue à grande vitesse et il vaut mieux aller dans le sens du courant que d'essayer désespérément de nager dans le sens inverse. Si vous ressentez une attirance pour la Nature, l'alimentation saine et vivante, suivez votre intuition et délaissez les aliments pour lesquels vous ressentez de la répulsion, la viande en particulier.
Le problème, c'est que nous sommes à une période charnière. Le vieux monde est fissuré de toutes parts et s'apprête à s'écrouler. Mais le nouveau monde ne sortira pas d'un trait, comme un lapin d'un chapeau. C'est à nous d'adopter de nouveaux comportements dans notre vie de tous les jours. Pour cela, il faut sortir du groupe dominant et accepter d'être vilipendé pour notre attitude non conformiste. Les précurseurs sont souvent sacrifiés, alors qu'ils servent de phare à la communauté.
Dans les époques de crise profonde, comme celle que nous traversons actuellement, on rencontre aussi bien des attitudes de bassesse que d'héroïsme. Que l'on se rappelle la débâcle de 1940 et l'occupation allemande qui s'en suivi. Si le gouvernement de Vichy incitait alors à dénoncer les résistants, il y avait aussi des "Justes" qui mettaient leur existence en danger pour sauver des innocents. (La comparaison pourra paraître disproportionnée à certains, mais le temps risque hélas de me donner raison).
On nous a toujours persuadé qu'il valait mieux être le loup que l'agneau, mais nous ne sommes pas tous des prédateurs ; chacun suit sa propre inclination. Ceci dit, être martyre n'est pas un but en soi. Il faut plutôt chercher à mettre en œuvre un idéal de fraternité.

Mais attention ! Si de nombreuses personnes deviennent subitement végétariennes, l'industrie de la viande - jadis florissante - pourrait bien péricliter. Certains ne manqueront pas alors d'avancer que nous devons manger de la viande par civisme, pour sauver la filière et les emplois qui vont avec. En somme, si DOUX - le géant breton de la volaille - dépose le bilan, ce n'est pas à cause d'erreurs de management, mais parceque nous n'avons pas mangé assez de poulet ! Avec un tel raisonnement, rien ne vaut les usines d'armement pour développer l'emploi. Il faut savoir rester ferme dans nos convictions et ne pas nous laisser abuser par ceux qui cherchent à nous attribuer le poids de leurs propres erreurs de jugement.

[À propos de DOUX, il y en a un qui ne manque pas d'air, c'est Michel-Édouard Leclerc. Il a fait savoir qu'il était de tout cœur au côté des salariés en passe d'être licenciés, alors que sa politique commerciale est l'une des causes de la faillite du volailler. En effet, LECLERC a réussi a devenir l'enseigne la moins chère de France en pressant ses fournisseurs comme des citrons. C'est justement parceque DOUX est resté intransigeant en refusant de baisser ses tarifs qu'ils a perdu d'importantes parts de marché dans la grande distribution. À cela il faut ajouter des investissements hasardeux au Brésil où sa filiale faisait concurrence à la maison-mère française.]

Ainsi, l'argument économique apparaît comme la dernière tentative d'un système à bout de souffle pour nous faire rentrer dans le rang. L'objectif étant de contrôler les individus. Pour cela, on les empêche de réfléchir en les plongeant dans une torpeur favorisée par une alimentation malsaine. Si vous désirez vous affranchir des tutelles politique et religieuse, attendez-vous à des mesures d'intimidation. Ces gens-là ont horreur des hommes libres et indépendants. Ils préfèrent ceux qui se soumettent. Car être végétarien, c'est adopter un mode de vie différent, en faisant un pied-de-nez aux idées recues. Mais l'exception d'aujourd'hui (2% de végétariens en France) pourrait bien devenir la norme demain. À condition que nous fassions preuve de persévérance.

L’étrange destin d’Elizabeth Klarer



Parmi les grandes aventurières qui inspirèrent les hommes à travers les siècles, la mystérieuse et fascinante sud-africaine Elizabeth Klarer est peut-être celle dont le destin fut le plus étrange. Elle naquit en 1910 à Mooi River, dans la province reculée du Natal et passa son enfance dans une ferme isolée où elle apprit très jeune et de façon totalement autodidacte à communiquer avec les Zoulous et à parler leur langue. Puis ses parents l’envoyèrent en Angleterre pour y faire ses études. Elle manifesta bien vite de stupéfiantes aptitudes dans les disciplines les plus variées : à l’âge de 20 ans, elle jouait à la perfection de plusieurs instruments de musique, était capable de piloter des gros avions et avait déjà atteint la notoriété en tant qu’environnementaliste. Durant la seconde guerre mondiale, elle travailla à la fois au décodage de certains messages cryptés de l’état-major allemand pour le compte de l’armée britannique et à un programme de recherche ufologique financé par le gouvernement sud-africain.
En 1955 et 1956, une soucoupe volante survola à plusieurs reprises sa ferme au Natal, où elle était retournée s’installer après la guerre, et en 1957, alors qu’elle  effectuait une randonnée sur le haut plateau de Cathkin Peak, dans la région de Drakensberg, elle se retrouva nez à nez avec un grand être blond et de noble prestance qu’elle connaissait déjà pour l’avoir vu, au cours de l’un de ses flashs médiumniques, en train de piloter la soucoupe qui avait survolé sa maison l’année précédente.
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Vue de Cathkin Peak
Il se présenta à elle sous le nom d’Akon et lui indiqua qu’il venait de Méton, une planète appartenant au système de Proxima du Centaure. Celui qui allait devenir le père de l’un de ses trois enfants l’invita alors à le suivre à bord de son engin. Puis elle disparut totalement de notre monde durant près d’un an.
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Akon
À son retour sur la Terre, elle était enceinte de quatre mois. Durant les semaines qui suivirent, elle ne cessa d’être harcelée, car une personne indélicate de son entourage avait transmis des informations sur son mystérieux voyage à la fois à la CIA et aux services secrets russes. Ces derniers voulaient absolument s’emparer du futur enfant des étoiles qu’elle portait en elle. Ils essayèrent même de la kidnapper, mais elle parvint de justesse à leur échapper. Elle avait appris à communiquer tétépathiquement avec les Métoniens et demanda alors à Akon de revenir la chercher ; puis elle accoucha de leur enfant, Ayling, sur la planète Méton. Mais elle avait du mal à s’acclimater aux vibrations élevées du champ magnétique de cette lointaine planète, et dut finalement se résoudre à revenir définitivement sur la Terre.
Akon et son fils demeurèrent cependant en contact avec elle sous forme de rencontres télépathiques et de matérialisations holographiques jusqu’à son départ définitif en 1994. Tous les épisodes de sa vie sont retranscrits dans son livre Beyond the Light Barrier (Au-delà de la Barrière de Lumière) qui n’a malheureusement jamais été traduit en français.
Depuis son retour sur la Terre, le Département britannique de la Défense a toujours manifesté un intérêt particulier pour les expériences d'Elizabeth Klarer et son histoire a attiré l'attention des gouvernements de plusieurs autres pays, en particulier ceux des États-Unis, de l’Allemagne et de la Russie.
En 1975, elle fut applaudie à Wiesbaden par un groupe de scientifiques représentant 22 nations après avoir donné une conférence sur les propriétés de la lumière. Elle prononça d’autres discours qui suscitèrent également l’enthousiasme, aussi bien aux Nations Unies qu’à la Chambre des Lords. Elle avait commencé la rédaction d’un second livre intitulé Les Fichiers de la Gravité avant d’être emportée par une longue maladie en 1994. Son histoire continue aujourd’hui de faire rêver et d’inspirer de nombreux spiritualistes tout en demeurant un mystère, voire une énigme dérangeante pour certains esprits cartésiens étriqués.
Voici quelques extraits inédits des deux dernières interviews qu’elle avait accordées juste avant de nous quitter.

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Elizabeth Klarer (1910 - 1994) : ci-dessus à l'époque de sa rencontre avec Akon,
et ci-dessous posant derrière son buste qu'elle avait elle-même sculpté peu avant sa mort.
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Question : Pouvez-vous nous décrire la soucoupe qui vous avait emmenée jusqu’à la planète Méton ?
Elizabeth Klarer : Elle était parfaitement circulaire et son diamètre était d’environ 6 mètres, avec une coque très large et un dôme aplati en son centre avec des hublots tout autour . Elle projetait un éclat argenté, qui ne provenait pas d’une réflexion de la lumière du Soleil, mais de son propre rayonnement. Lorsque ce type de vaisseau prend de la vitesse, le rayonnement s’intensifie et tout se met à briller et à scintiller. L'intérieur était splendide et éclairé d’une lumière douce et agréable dont on ne percevait pas la source. Les murs changeaient de couleur lorsque le système était mis sous tension, ils passaient du rose au jaune, puis au vert et au bleu.
Question : Y a-t-il une raison à cela ?
Elizabeth Klarer : Les soucoupes ont la possibilité de s’immobiliser dans l’espace ou au contraire de se déplacer quasi-instantanément d’un point à un autre de la trame universelle. Leur vitesse de déplacement est associée à des changements de fréquences qui ont une incidence sur leur structure chromatique. Les vaisseaux-mères fonctionnent suivant le même principe et irradient également de merveilleuses couleurs.
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Question : De combien de personnes était composé l’équipage de la soucoupe à bord de laquelle vous avez voyagé ?
Elizabeth Klarer : Ils étaient deux et ils étaient tous les deux astrophysiciens, mais l’un des deux était également biologiste ; il s’intéressait principalement à la faune et à la flore des planètes habitées qu’ils visitaient.
Question : Pouvez-vous nous donner des informations sur les techniques et matériaux utilisés pour construire ces vaisseaux ?
Elizabeth Klarer : Les vaisseaux sont créés dans l’espace par condensation de flux énergétiques. Puis ils sont ramenés jusqu’à la surface de la planète dont ils dépendent au moment de la finition intérieure. Mais l’essentiel du fuselage est formé dans l’espace de manière à optimiser sa conductivité énergétique.
Question : Un métal particulier est-il utilisé pour la construction ?
Elizabeth Klarer : Non cela n’a rien à voir avec du métal. Au niveau de l’aspect extérieur, cela ferait plutôt penser à de la porcelaine très fine. Mais la seule substance entrant dans la composition des vaisseaux est la lumière.
Question : Combien leur faut-il de temps pour construire un vaisseau ?
Elizabeth Klarer : Pour créer le fuselage complet, il leur faut l’équivalent d’environ 15 minutes de temps terrestre, le temps d’harmoniser leurs vibrations à celle de l’entité du futur vaisseau. Il est alors créé virtuellement. Il faut ensuite une quinzaine de jours pour le matérialiser complètement à partir de l'énergie cosmique naturelle.
Question :  Pourriez-vous nous dire quelques mots concernant le vaisseau-mère où vous avez voyagé ?
Elizabeth Klarer : C’est un immense vaisseau-cargo pouvant contenir environ 24 soucoupes ; chacune est prévue pour transporter deux personnes. Il avait la forme d’un cigare, mais son aspect variait en fonction de la lumière. Sous certains angles, il semblait même presque circulaire. Ces vaisseaux sont de véritables villes. Certains font plus de dix kilomètres de long et contiennent non seulement des maisons, mais des arbres, des fleurs et des lacs magnifiques.
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L'intérieur d'un vaisseau-mère
La plupart transportent des soucoupes qui servent en général de navettes, mais certaines de ces soucoupes ne sont que des hologrammes destinées à habituer les Terriens à l’existence des extraterrestres. Quand le vaisseau arrive à proximité d’une planète, il se positionne généralement en orbite géostationnaire à environ 1500 kilomètres de la surface. Il fonctionne en totale autarcie et peut accueillir au moins 5000 passagers. L’énergie auto-produite par le vaisseau suffit à la croissance et à la maturation des végétaux dont ils se nourrissent, à l’exclusion de tout aliment carné.
Question :  Peut-on voir ce qui se passe à l’extérieur du vaisseau depuis l’intérieur ?
Elizabeth Klarer : Non seulement on peut tout voir y compris à travers des obstacles solides et zoomer sur n’importe quel point de l’espace sans altérer la qualité des images, mais on peut obtenir le même résultat au niveau du son.
Question :  Les vaisseaux ont-ils de l’armement à leur bord ?
Elizabeth Klarer : Non, ils sont seulement équipés de déflecteurs qui leur permettent, en cas de nécessité, d’immobiliser d’éventuels projectiles, y compris des missiles.
Question :  Les membres de l’équipage du vaisseau-mère à bord duquel vous avez voyagé viennent-ils tous de Méton ?
Elizabeth Klarer : Ils appartiennent tous à la Fédération des Planètes qui regroupe la plupart des planètes et des lunes habitées de notre système solaire. Mais d’autres planètes sont actuellement en cours d’aménagement, notamment dans le système de Véga, en vue d’y accueillir des humains.
Question :  Comment sont les habitants de Méton par rapport aux Terriens ?
Elizabeth Klarer : Ils sont plus grands, plus beaux, plus évolués et plus pacifiques. Ils se vêtissent et se nourrissent de manière beaucoup plus simple et naturelle que nous, et ils vivent bien plus longtemps : jusqu’à plusieurs centaines d’années.
Proxima du Centaure ne produit aucun rayonnement susceptible de brûler la peau ou de perturber le fonctionnement de l’organisme. C’est pourquoi les Métoniens se contentent de vêtements de soie légers et agréables. Tout est gratuit et il existe des "fermes à soie" où chacun se sert librement selon ses goûts. Tout ce qui est nécessaire à la vie est disponible en abondance et il n’y a ni argent ni troc.
Question :  À quoi ressemble la planète elle-même ?
Elizabeth Klarer : Elle est légèrement plus grande que la Terre, recouverte de vastes mers, et les terres sont toutes des îles ; il n’y a pas de continents. Le climat est merveilleusement doux et la luminosité agréable. La végétation est luxuriante et les Éléments ne provoquent jamais de catastrophes ni de cataclysmes. Ils sont totalement sous contrôle des habitants qui ont des milliers d’années d’avance sur nous non seulement au niveau technologique mais surtout au niveau spirituel.
Question :  Pouvez-vous nous décrire l’organisation politique et sociale sur Méton ?
Elizabeth Klarer : Il n'y a ni lois ni argent ni système politique, car tout repose sur l’harmonie, le partage et la fraternité. Il n’y a ni criminels ni délinquants. Les Métoniens sont des êtres extrêmement doux, gentils et hospitaliers. Leurs maisons sont belles, lumineuses et construites à l’aide d’un matériau transparent qui les rend particulièrement confortables et accueillantes. Les médecins se consacrent exclusivement à des activités d’étude ou de recherche sur d’autres planètes, car il n’y a pas de malades chez eux. Ils n’ont pas d’ennemis et il n’y a aucun prédateur sur Méton. Leur principale préoccupation est que tout soit beau autour d’eux. Ils ont un sens artistique inné. Leur musique et leurs peintures sont merveilleuses. Ils affectionnent particulièrement les jardins fleuris, les papillons et les oiseaux avec lesquels ils communiquent télépathiquement.
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Les Métoniens n’utilisent ni livres ni ordinateurs et la plupart du temps ils communiquent non seulement avec leurs animaux mais également entre eux par télépathie, et c’est ainsi que se transmet l’éducation. C’est d’ailleurs de cette manière que se réalisent la plupart des échanges d’informations entre les êtres évolués qui habitent notre univers. Cette méthode m’a été enseignée par Akon. Il m’arrive d’être en relation harmonique avec leur vaisseau pour accompagner l’un des leurs à travers la barrière de lumière et traverser l’éther, avant de rejoindre la banque d’informations où ils stockent leurs connaissances.
Question : Comment se déroule la vie des femmes sur Méton ?
Elizabeth Klarer : Les femmes n’ont pas à accomplir les mêmes travaux que sur la Terre. La lumière se substitue à la force physique. Par exemple, la nourriture n’est pas cuisinée mais préparée grâce à la lumière. Les Métoniens sont moins nombreux que les Terriens. Mais il arrive à certains couples d’avoir beaucoup plus d’enfants. Cela provient de ce qu’ils vivent bien plus longtemps et peuvent continuer à avoir des enfants durant plusieurs centaines de nos années. Il n’y a aucun problème lié à l’âge. Ils recourent cependant souvent à des contraceptifs naturels, pour éviter de se retrouver confrontés aux problèmes récurrents de surpopulation que nous connaissons sur la Terre. Il n'y a ni mariages et ni divorces. Une fois qu’ils ont trouvé leur compagne ou leur compagnon, ils restent ensemble pour la vie, et si l’un des deux est victime d’un accident, il se réincarne et revient tout simplement dans la même maison poursuivre et terminer son incarnation au côté du même partenaire.
Question :  Vous avez mentionné l’existence de sept planètes autour de Proxima. Comment se nomment les autres ?
Elizabeth Klarer : Elles n’ont pas de noms, seulement des nombres harmoniques. Akon m’avait donné le nom de Méton pour faciliter nos communications personnelles. Mais les habitants de Méton n’utilisent  pas ce nom.
Question :  Que représente le temps pour eux ? Comment le mesurent-ils ?
Elizabeth Klarer : Ils ne se préoccupent pas du temps. De toute façon, leur système tristellaire ne leur permettrait pas de le faire, car il n’y a jamais de nuit ni de transition entre les journées sur Méton. Quand la plus petite étoile, Proxima (Alpha C), se couche, les deux autres soleils, Alpha A et Alpha B se lèvent. Ils sont plus éloignés de Méton que Proxima, mais beaucoup plus gros. Leur lumière produit sur Méton à peu près le même niveau d’ensoleillement que celui provenant de Proxima, malgré la distance plus grande et leur vibration moins rapide.
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Vision tristellaire
Question :  Je présume que Méton se trouve dans une dimension plus élevée que la Terre.
Elizabeth Klarer : Oui, mais c’est une dimension qui demeure proche de la matière. Ce n’est pas une dimension totalement spirituelle comme la cinquième.
Question :  Pour en revenir aux vaisseaux-mères, vous avez dit qu’ils sont construits dans l’espace. Comment cela est-il possible ?
Elizabeth Klarer : En réalité, il ne s’agit pas exactement de construction, mais plutôt de création. Ils sont créés dans l'atmosphère des planète puis assemblés sur les planètes elles-mêmes. Les plus anciens furent conçus y a des millions d’années et construits par des Vénusiens. Après avoir colonisé la Terre, ils comprirent qu’ils ne pourraient continuer à y habiter. Ils décidèrent alors de réaliser plusieurs immenses vaisseaux pour emmener le maximum de personnes ainsi que des spécimens de notre faune et de notre flore.
C’est en raison de la nature instable de notre Soleil et des cataclysmes qui se produisaient régulièrement sur la Terre que les Vénusiens décidèrent de la quitter. Ils se mirent alors en quête d’un système qui soit assez proche de notre système planétaire tout en étant mieux adapté à leur mode de vie et de pensée. C’est ainsi qu’ils découvrirent Proxima Centauri, qui était d'une étoile semblable au Soleil, mais bien plus âgée et donc beaucoup plus stable. Ils s’installèrent finalement sur Méton qui est actuellement la planète qui compte le plus de Vénusiens, parce qu’elle ressemble beaucoup à Vénus, telle qu’elle était à l’époque où ils y vivaient encore. Les conditions atmosphériques et climatiques y sont à peu près identiques, et surtout, son taux vibratoire est bien mieux adapté que celui de la Terre à leur niveau de conscience actuel. Ils ont cependant encore des bases sur la Lune, Mars et sous la Terre qu’ils continuent de visiter régulièrement.
Question :  Les Vénusiens ont-ils joué un rôle en Lémurie et en Atlantide ?
Elizabeth Klarer : Oui, Atlantis était leur base principale et ils en avaient une autre en Amérique du Sud. Les Incas étaient les descendants directs des anciens colons vénusiens. Il y avait également une base vénusienne dans la région de la Cordillère. Ils y sont restés jusqu'aux grands bouleversements de l'Atlantide qui ont profondément modifié la topographie des Andes : les éruptions volcaniques ont soulevé cette région. La partie la plus fertile est devenue aride et montagneuse. Il subsiste des vestiges de cette civilisation au bord du lac Titicaca et aussi sous le lac.
Question :  D’où vient le reste de la population terrestre, puisque vous dites que seule une petite partie est originaire de Vénus ?
Elizabeth Klarer : La population terrestre actuelle était à l’origine essentiellement composée d’indigènes autochtones descendant d’anciennes races issues de croisements génétiques, auxquels il faut ajouter un petit groupe d’anciens colons vénusiens qui choisirent de rester lorsque la majorité d’entre eux émigrèrent à destination de Proxima Centauri. Ceux qui ont choisi de rester l’ont fait pour pouvoir continuer à veiller sur la planète et aussi pour encadrer l’évolution des Terriens de souche terrestre.
Les Vénusiens cherchent actuellement à préserver la vie sur la Terre et à la réinsuffler non seulement sur la planète Vénus, qui était à l’origine parsemée de mers et recouverte d’une flore luxuriante comme l’est celle de Méton, mais aussi sur la planète Mars, car l’avancement technologique de leur civilisation et leur haut degré de spiritualité leur permet désormais d’accomplir la mission à laquelle ils se préparent depuis des milliers d’années : rendre la plupart des systèmes planétaires de notre galaxie habitables par des humains.
Question :  Comment cela est-il possible, puisque les scientifiques prétendent que le Soleil est en train de mourir ?
Elizabeth Klarer : Le Soleil n’est pas du tout en train de mourir, mais simplement de se transformer. Il produit actuellement plus d’énergie qu’il n’en absorbe et donc il se refroidit. Mais pendant que le Soleil se refroidit, Jupiter se réchauffe et s’embrasera dans un futur très proche. Notre système deviendra alors bistellaire, car Jupiter est en train de devenir une étoile. Il y aura bientôt deux Soleils dans notre ciel !
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Question :  Depuis combien de temps y a-t-il des hommes sur la Terre ?
Elizabeth Klarer : Les Terriens d’origine remontent à l’époque des dinosaures. Au moment de leur disparition, il y eut une période de très grande activité solaire. Le rayonnement ultraviolet détruisit une grande partie de la faune et de la flore. Les survivants des anciens autochtones, qui étaient peu nombreux, se réfugièrent dans des grottes, non pas pour se protéger du froid ni des prédateurs, mais pour se protéger de certaines radiations. Et ils ont survécu grâce à l’aide des Vénusiens.
Question :  Êtes-vous la flamme jumelle d’Akon et provenez-vous de la même conscience originelle, ou bien est-il pour vous une sorte d’âme-sœur avec laquelle vous avez déjà partagé d’autres existences ?
Elizabeth Klarer : Nous sommes tous deux originaires de la même planète et nous sommes tous deux des flammes jumelles depuis toujours, parce que nous avons la même conscience unitaire. Je me souviens parfaitement de mon existence précédente sur Vénus au côté d’Akon, et nous avons toujours vécu ensemble à travers les âges. Je n’avais jamais vécu sur la Terre jusqu’à cette présente incarnation.
Deux âmes-sœurs sont tout l’une pour l’autre, et aucun autre être au monde ne peut leur apporter la même plénitude. Tous les êtres que vous avez vous-même rencontrés depuis le commencement de vos multiples incarnations, tous les maris ou toutes les femmes que vous avez eus, tous vos anciens amants et toutes vos anciennes maîtresses vous ont quitté parce qu’ils ne vous étaient pas accordés harmoniquement. Vous avez peut-être été ensemble un moment, mais comme un pot et un couvercle qui ne s’adaptent pas. Tandis que deux âmes qui ont été conçues ensemble au sein de la grande Matrice originelle sont absolument faites l’une pour l’autre ; rien ne peut les séparer, pas même des années-lumière, et elles n’ont aucune crainte de l’être.
Lorsque, dans un couple, l’un ou l’autre a peur que l’on vienne séduire son partenaire - et rien en effet ne peut empêcher que cela se produise ! - c’est que ce partenaire n’est pas le bien-aimé véritable, l’âme-sœur. Une femme aime un homme, mais il l’abandonne ; un homme aime une femme, mais elle part avec un autre… Les âmes-sœurs, au contraire, se reconnaissent avec une certitude absolue et ne peuvent se quitter.
Il nous est cependant arrivé d’être séparés durant de courtes périodes. Ainsi, j’ai un travail à terminer ici et Akon en a un autre à accomplir sur sa planète. Ma mission consiste à expliquer la réalité extraterrestre, à parler de leur civilisation et à préparer les gens à leur future intervention sur la Terre. Je dois aussi leur expliquer ce qui risque de se produire si nous ne nous comportons pas correctement envers la nature.
Question :  Le niveau d’avancement des Métoniens semble tel que l’on aurait pu supposer qu’ils aient déjà dépassé le plan physique et qu’ils aient définitivement rejoint des plans de conscience plus spirituels. Pourquoi ont-ils encore des corps physiques comme les nôtres ?
Elizabeth Klarer : Il leur est ainsi plus facile de communiquer avec les civilisations qui évoluent dans la matière dense. Il n’y a d’ailleurs pas d’inconvénients pour eux à rester dans le plan physique : ils sont toujours en bonne santé ; ils ne subissent pas les effets négatifs du vieillissement. Par ailleurs, ils semblent apprécier la vie physique. Et ils sont libres de tout karma.


Extraits d’interviews d’Elizabeth Klarer
réunis et traduits par Olivier de Rouvroy
Juillet 2012